Près de 500 manifestants ont crié leur indignation à Nîmes, capitale française de la corrida, en créant une figure géante à la symbolique forte sur le parvis des arènes. Pari réussi, puisque le double des participants attendus était réuni. Devant l'amphithéâtre nous attendaient quelques aficionados, inquiets pour la statue du torero, à laquelle nul n'a accordé la moindre attention...
Le cortège a ensuite investi les ruelles de l'Écusson avant une dernière descente sur les arènes, sans qu’aucun débordement ne puisse nous être imputé.